Château [Chambre d'invitée]

Son père, le roi Mordred, l’attendait et il avait l’air en colère. Zackeriel le regarda d’un tendre regard, pour se faire pardonner et descendit de son cheval avec la jeune dame dans ses bras. Le prince disparut alors dans le château s’en même que son père puisse l’empêcher. Zackeriel monta les longues marches de la tour et entra dans l’aile des invités. Il ouvrit une porte…Enfin une servante ouvrit une porte pour lui et Zackeriel entra rapidement.

- Allez me chercher des vêtements neufs…ouvré moi se lit et ouvré moi les fenêtres…J’aimerais avoir de l’air si c’est possible.

La voix de Zackeriel avait quelque peut changer. Celle-ci était plus strique et plus sévères. La situation exigeait se ton de voix, malheureusement. Personne ne semblait comprendre que la femme pourrait mourir, et Zackeriel ne voulait pas la voir mourir. Les servantes ouvrirent enfin le lit et Zackeriel déposa la jeune femme dans le lit, pour finalement se retiré en-dehors. Lorsque les servantes ures mis la jeune femme en tenue de nuit. Zackeriel put remettre les pieds à l’intérieur. Il regarda la jeune femme et sursauta lorsqu’on cogna a la porte. Les soldats avaient enfin ce qu’il souhaitait.

- Les fleurs sur la table a droit et la nourriture près de la fenêtre…Non!! Les fleurs près de la fenêtre et la nourriture sur la table…Maintenant sortez!!

Zackeriel alla refermer la porte et alla prendre place sur une chaise, près du lit et attendit…Le réveil de la femme

Sitael depuis sonévanouissement, n'avait pas gémit, n'y émit aucun son et n'avait eu aucune conscience de tout ce qui venait de se passer. Après le choc qu'elle avait subi, elle aurait surement oublié la raison qui l'avait mise dans cet état. Une grande impression suivit d'une grande peur et un manque de nourriture n'était jamais profitable pour la santé, voir la mentalité.

Après un certain temps, sa respiratio devint plus régulière puis elle cligna des yeux, bailla, s'étira un peu et vint pour se lever mais ce figea immédiatement. Ce lit était bien trop confortable pour être sa paillasse et ce plafond bien trop ouvragé pour être sa chaumière. Même l'air n'y était pas le même. Elle regarda autour d'elle, perdue, paniquée, puis s'arrêta sur la première et la seule qui peuplait la pièce. Le prince se trouvait tout bonnement devant elle. Elle devait rêver, c'était impossible.

Elle se leva tranquilement, ébahie et demanda.

-Suis-je dans un rêve?

Elle regardait autour d'eux et tout semblait si irréaliste pour son environnement habituel. Peu importe si c'était un rêve ou non, ou était donc passé ses manières! Elle se leva d'un bon et alla s'agenouiller bien bas devant le prince, aussi bas que son statue l'aurait exigé, elle qui était presqu'une moins que rien.

Zackeriel sursauta de nouveau en sentant la jeune femme bouger. Le soleil brillant toujours de mille feu, car c’était seulement le matin, mais Zackeriel c’était endormit malgré cela. Son bas du corps était sur la chaise et son haut du corps sur le pied du lit. Ses bras croisé, le visage caché, il dormait paisiblement. Son sommeil termina lorsque la femme bouge, le faisait donc sursauter. Il se redressa rapidement sur son banc et replaça ses cheveux pour ne pas avoir l’air fou. Il posa, par la suite, son regard sur la jeune femme, qui semblait plutôt allaise dans le lit, car son regard, même s’il était fermé, représentait le bonheur. Zackeriel le sentait en la voyant ainsi. Il ne put s’empêcher de sourire et s’apprêta a dire un mot lorsqu’elle se leva, sur le lit, assit. Elle regarda autour d’elle et Zackeriel se dit qu’il allait attendre, elle devait…Non elle semblait vouloir voir tout et Zackeriel lui accorda se souhait, qui était des plus simples. Lorsqu’elle pensa rêver, Zackeriel dit :

- Non vo…

Encore une fois, il ne put terminer sa phrase. La jeune femme sorti dit lit, en tenue peut convenable, et se pencha, signe de respect. Zackeriel se leva aussitôt et se pencha a la haute de la femme. Il n’aimait pas cela…il n’aimait pas qu’un être humain se prosternent devant un autre être humain. Devant un dieu…oui…Devant un immortel…oui…Mais un humain a un humain n’était pas normal…selon lui…Surtout pas dans cette circonstance. Zackeriel se pencha donc, prit le menton de la jeune femme, le releva pour que son regard croise le sien :

- Ne faite pas cela devant moi…Mademoiselle. Ne faite pas cela pour mon statue…

Zackeriel se releva et la releva du fait même. Maintenant qu’elle était propre, du au nettoyage des servantes, Zackeriel regard la beauté de son visage, qui lui avait été caché plutôt. Doucement, il leva une main et alla placer une mèche qui jouait les rebelles, avant de la laisser retomber dans le vide.

- Maintenant vous allez vous recouchez et reprendre des forces

Zackeriel se fit insistant et remit la jeune femme dans le lit, la couvrit des couvertures et reprit place sur sa chaise. Il lui offrir les plateaux de nourriture et se permis de prendre une pomme. Après avoir croqué la pomme, Zackeriel lui demanda poliment :

- Je me nomme Zackeriel de Rubis. Futur roi de Rubis. Fils de Mordred roi de Rubis. Pourrais-je avoir l’honneur de connaitre votre nom ?

Il lui avait relevé le menton. Comment pouvait-il serabaisser à son niveau? Il lui donna sa philosophie, qui lui parut un peu étrange, mais très respectable et très respectueuse. Il était très humble pour adopter un point de vu le désavantageant. Elle se releva timidement, en acquiessant de la tête qu'elle ne recommencerait plus. Le moment qu'il prit pour l'observer, elle en fit de même, chacun dans la comtemplation de l'autre, mais elle n'osa pas le toucher. Elle avait bien entendu parler de lui, vu des portrait de son père, mais jamais elle n'avait pu réellement le voir. Sa beauté était pure et royale, il portait bien son titre de noblesse, e fait il aurait été impossible qu'il en aille autrement.

Elle prit la main qu'il lui tendit et retourna docilement au lit qu'il lui présentait, absorbée par ce qui lui semblait toujours être un rêve. Elle se laissa couvrir comme une enfant. En lui présentant les plateaux, elle acquiessa timidement, puisqu'elle avait réellement besoin de manger mais ne voulait pas paraître gloutonne. D'ailleur elle se força à bien manger, peut-être même d'une manière exégérée, mais elle se sentait le besoin d'agir ainsi devant une figure royale. Elle termina sa bouchée avant de lui révéler son nom de manière aussi courtoise que la sienne.

-Je suis Sitael de Rubis... de votre futur royaume.

Le simple fait de se souvenir qu'elle se trouvait devant son futur monarque et qu'il la traita ainsi la fit roufir très fortement et mangea pour cacher sa gêne, mais elle le regardait toujours, incapable d'en détache son regard. *Oserais-je lui demander?*

-Pourquoi vous occupez-vous ainsi de moi?

Elle l'avait vraiment dit et se sentit des plus mal à l'aise, on aurait dit qu'elle venait lui cracher une insulte alors qu'au contraire, elle n'aurait jamais pu épérer mieux, l'espoir étant mort depuis longtemps, elle fesait son bonheur avec les petites joies, mais celle-ci était inexplicable.
Elle regarda par la fenêtre, voyant quelque peu la cours extérieur, elle trouvait soudainement le monde vaste. Son regard n'avait plus rien d'innocent, il était très sérieux et contemplatif. Puis elle revint à son futur monarque et vit pardessus son épaule le vase avec de jolie fleurs, ce qui la fit sourir malgré elle.

Zackeriel, qui n’avait pas bougé d’un centimètre, attendait la réponse de celle-ci avec excitation. Lorsqu’on parle d’excitation, c’est seulement pour dire qu’il avait réellement de connaitre son nom. Étant d’une nature très curieuse, il trouvait étrange de ne jamais l’avoir vu dans le village et ni lors des représentations. Il est vrai qu’avec son rang que peut-être c’était plus difficile…Oui!...C’était plus difficile, car elle n’était pas libre a part entière, mais dans un certain sens oui. Contrairement a lui, elle pouvait aller où elle le voulait. Zackeriel lui, devait toujours être escorté et devait rester au château. C’était réellement déplaisant… Il se sentait comme un animal enfermé…Mais heureusement se n’était pas si pire que cela paraissait.

Sortant de sa ‘’rêverie’’ il regarda la réaction de la jeune femme, qui semblait plus que perdu en cette instant. Cela le fit sourire, car il comprenait que c’était la première fois qu’elle voyait, et avait, des soins comme il lui offrait en cet instant matinal.

*Quel jolie nom*, se dit-il lorsqu’elle sut présenter a lui. Sitael était réellement un beau nom. Celui-ci semblait être un nom de fleur…La prononciation était douce et la beauté de la femme amplifiait le nom, qui était encore plus beau qu’elle. Le monarque regarda la femme et lui sourit.

- Réellement heureux de vous rencontrez Sitael de Rubis

Un sourire rassurant étira ses lèvres et il sursauta de nouveau lorsque son père entra dans la pièce. Il avait entendu dire que son fils avait rapporté une courtisane…Assez mal en point…et que celle-ci venait de se réveiller. Mordred, qui était de nature curieuse, mais qui c’était inquiétait pour un de ses sujet, s’approcha de son fils, qui se leva aussitôt en signe de respect.

- Père
- Bonjour mon fils!!. Le roi ne prêta pas plus d’attention a son fils et se tourna vers la jeune femme, qui ne semblait plus savoir quoi faire. Zackeriel venait de lui dire de ne pas faire de révérence…Mais maintenant…Que devait-elle faire? Avant même que son père parle, Zackeriel intervenu pour ne pas mettre Sitael encore plus mal-à-laise.

- Père je vous présente Sitael…C’est elle qui a eu de mauvais traitement de la part de l’homme…L’avons-nous retrouver ?

- Oui nous l’avons retrouvé…Il est aussi le créateur de beaucoup d’ennuie dans le royaume. Vol – menace – violence et beaucoup d’autre. Il est dans les cachots et risque d’y rester longtemps. Mais laisse moi donc avec tout t’es question fiston. Dit-moi plutôt si tu viendras cette-après midi. Le festin est en ton honneur et j’aimerais que tu y sois…puis que c’est pour toi.

-Bien sûr que je vais venir…Avec une invité…Alors rajouté un couvert

- Bien…je dois y aller…Je te revois plus tard… le roi se tourna vers la jeune femme et lui dit, d’un ton doux et calme : - heuruex de vous avoir vu Mademoiselle Sitael. Nous nous reverrons plus tard. Le monarque sorti et Zackeriel reprit sa place sur la chaise. Au même moment quelque cogna a la porte et Zackeriel alla ouvrir a la hâte, car il voulait reparler a la femme. Il prit la robe que la servante venant d’apporter, lui donna une pièce et referma la porte avant de retourner au lit. Il reprit place sur sa chaise. Il déposa la belle robe, de couleur beige et remplit d’insigne beige foncé, sur le pied du lit et répondit enfin a la jeune femme :

- Et bien je crois que vous le méritez amplement…Belle dame

Zackeriel se leva, quelque peut gêner et rajouta :

- Il y a un bal en mon honneur qui débutera cette après-midi, vers quatre heures, et qui se terminera se soir…J’aimerais que vous venez. Cette robe est pour cette occasion…Et elle est a vous. J’aurais bien aimé rester avec vous…Mais je dos allez me préparer et je dois alla vérifié les places pour les invités…J’espère vous voir leur du soupé

Zackeriel, maintenant rouge, recula, de reculons, jusqu'à la porte et fini par sortir, tout aussi rouge…Gêner de son comportement. Oublient cela, il se dirigea rapidement vers sa suite, car il devait s’habiller, allez vérifier si tout était en place…et accueillir le monde…Il en n’avait jusqu’au souper…Sûr et certain

Lorsque le roi en personne s'était présenté dans la pièce, Sitael était devenue rouge cramoisie, Heureusement pour elle, Zack était venu à son secour, une fois de plus. La robe qu'on lui présenta ainsi que l'invitation donnée la rendire encore plus gênée, tant d'éloges, elle ne pouvait qu'accepter malgré sa crainte au public de bourgeoisie.

Une fois laissée seule, elle se débarassa des plateaux en les déposant près de la fenêtre. Elle vit une brosse qui avait été mise à sa disposition sur un petit meuble, ainsi qu'une eau de toilette et bien d'autre produits pour la préparer à un bal. Elle n'avait jamais vu la plupart de ces choses et décida d'éviter de les utiliser, mais les observa tout de même avec curiosité. Elle s'en tint à la brosse qu'elle manipula un bon moment pour placer ses cheveux convenablement une fois pour toute. En fait, une servante entra et vint l'aider dans sa toilette, la coiffant. Elle l'aida à s'habiller, les robes étant plus complexes que celles de la ville. Lorsqu'elle vint pour la maquiller elle refusa, mais se laissaparfumer.

Le soleil commençait à monter dangeureusement, elle allait ête en retard. Elle parcouru les couloirs aussi vite que des talons haut le permettaient, mais se perdit à plusieurs reprise. Elle ne connaissait que quelques coin de rue de la ville, alors comment se diriger dans un palais pour la première fois? Elle fut bien heureuse et angoissée à la fois, d'entendre la usique débuté. Elle était en retard, mais un guide aditif. Plus elle se rapprochait de la salle, plus son coeur battait de rencotrer tous ces personnages.

Sitael avait passé un très bon moment sur la piste de danse, voir un moment magique. Il l'avait caressée certe, mais elle s'était bien laissée faire, appréciant ce contact qui l'avait fait frémire. Et ces mots... elle n'avait pas encore trouver une réplique à donner qu'ils s'étaient retirer puisque la musique était terminée. Le moment était resté en suspend jusqu'à ce qu'une femme lui rappelle qui elle était réellement, une souillon. Les larmes lui avaient montés aux yeux, mais s'était retint, elle ne voulait pas faire une scène devant tout le monde. Elle avait préféré se retirée et emmenere loin de leur vue ses véritables habits. Cette fois-ci elle avait rtrouver son chemin très aisément.

Elle entra dans la chambre, prit le temps de déposer ce qui passait pour un torchon et alla devant la fenêtre, observer le qui semblait aussi triste que son coeur et se laissa aller tranquilement et dans le silence, bien qu,elle fut seule. Elle avait appris à vivre sa souffrance de cette manière, sans bruit et que pour elle-même. Elle s'accota les coudes sur le rebord et pencha la tête, faisant face au sol.

-Ainsi est tracée ma vie... ,murmura-t-elle dans un saglot.

À cette douleur vint un brin de rage qui fut rapidement noyer par la peine et le chagrin. Elle n'avait pas fini de souffrir, c'était son rôle.

Zackeriel avait suivit Sitael du mieux qu’il le pouvait. Il avait beau courir pour la rattraper, les domestiques et les servantes n’arrêtaient pas de l’arrêter et de lui poser des tas de questions. Zackeriel fut donc retarder de cinq minutes, mais fini par se libéré et reparti a la recherche de Sitael. Il n’eu pas vraiment besoin de chercher, car elle allait surement se trouver dans la chambre. Il en était sur. Il se dirigea donc en cet endroit et y entra…S’en faire de bruit. Il la regarda pleuré et il eu mal…Son cœur souffrait de la voir ainsi. Elle ne méritait pas des traitements comme cela…Personne ne le méritait.

Doucement, il s’approcha d’elle et s’en faire de bruit, il la regarda longuement. Il fini par s’avancer et alla la prendre dans ses bras. Doucement, il se colla a elle, la réchauffant avec son corps chaud…Le faisait frissonner avec son corps délicat. Zackeriel la prit dans ses bras, même si elle était dos a lui, et alla déposer ses lèvres a la base de son cou, avant de lui dire, tout bas a l’oreille :

- Connaissez-vous la définition de noble…Selon la diction des lois ? … Ne fait jamais le mal pour lequel tu as été crée. Selon eux, les humaines ne mérite pas de vivre, car tous cache une part de démon en eux…Le diction nous fait rappeler que certaine personne porte le démon…et d’autre non. Cette bourgeoise…Qui voulait tant se faire voir…Elle avait réellement un cœur de démon…Contrairement a vous…Qui avez un cœur d’ange.

Le prince baisa de nouveau son cou, en la collant contre lui encore un peut.

- Ne l’écoutez point…Elle ne mérite même pas qu’on l’écoute

Zackeriel la retourna, pour qu’elle soit face a lui. Sentait des courant froid, il lui offrit sa cape…Il la déposa sur ses épaules fragiles, avant de faire glisser sa main sur la joue de la femme et d’essuyer les larmes. Il lui fit un peut sourire et lui dit :

- Ne pleurez pas...Je n’aime pas vous voir pleurez

Sitael ne l'avait pas entendu entrer dans la pièce, sinon elle se serait bien gardé de pleurer. Elle fut surprise de sentir une douce chaleur émaner contre elle, mais étrangement rassurée. Ces lèvres sur son cou, c'était tellement délicat qu'un frisson lui parcouru l'échine du dos. Elle écouta ses murmures, un peu surprise de leur significations, de leur sens. Elle voulut se retourner d'elle-même, mais il entamma le mouvement pour elle. Déjà ses yeux semblaient moins humide, mais elle ne semblait pas totalement convaincue, mais elle laissa tout de même l'idée faire son chemin. La brise la fit un peu frissonner, mais déjà le prince veillait à son besoin. Elle reserra la cape autour de son cou et le fixa droit dans les yeux.

-J'ignore si certain ont des coeurs de démons ou si je possède un coeur d'ange, mais tout ce que je sais, c'est que vous êtes bien différent de tous ces gens que j'ai croiser sur la route. Vous portez bien votre définition de noblesse.

Elle suivit le tracé de son pouce et sécha les dernière larmes qui perlaient ses cils et répondit timidement à son sourir. Elle eut quelques regards ailleurs, évitant le sien un moment, puis se laissa emporter ne vague de seniment et se laissa aller dans ses bras. Elle avait tant besoin de réconfort et il semblait être le seul à la comprendre et à lui faire attention.

Une idée vint la frappée au point qu'elle s'en raidit sans pour autant le lâcher.

-Maintenant qu'il sait la vérité, que dira votre père le roi?, murmura-t-elle tout bas.

Zackeriel la regarda avec un doux regard. Elle semblait tellement fragile, tellement délicate, tellement vulnérable. Il la sentait aussi fragile qu’une fleur. Il la sentait comme elle était. Le jeune prince, qui avait perdu son regard, car elle regardait ailleurs, regardait sa réaction en souriant. Zackeriel ne pouvait nier qu’il aimait bien cette petite gêne qui ressortait d’elle. D’une main délicate, il lui prit le menton et reporta le regard de celle-ci sur lui. Il lui sourit et ne dit rien. Chose bien, car elle commençait un monologue. Il l’écouta avec attention et lui sourit, encore une fois, lorsqu’elle eu fini. D’un ton doux, calme et tendre, il lui dit :

- Avec une femme telle que vous devant moi…Comment ne pas être doux et noble avec elle ? Un homme ne doit-il pas tout faire pour faire plaisir a sa belle ?

La main de Zackeriel glissa sur la joue de celle-ci, lui faisait une douce caresse. Il voulu l’accoté contre le mur et l’embrasser avec fougue, ardeur et passion. Mais il ne fit rien. Une journée n’était pas assez. Peut-être deux, mais une était trop tôt. Surtout avec ce qu’elle venait de vivre. Lorsqu’elle lui dit son second monologue. Il lui sourit et se rapprocha d’elle, la colla légèrement a lui. Il plaça, de nouveau, la cape sur ses épaules et frotta, de ses mains, les bras de celle-ci pour qu’elle se réchauffe. Après un certain temps, il lui dit :

- Que vous êtes charmante…Magnifique…Et que vous me faites tourner la tête.

Il se recula, obliger puisque quelque cognait…Mais il ne fit rien. La porte était fermer et il n’avait pas envi de voir personne…Sauf elle. Trouvant qu’elle semblait avoir froid, il la fit reculer pour entré dans la petite chambre, quoi que petit était un faible mot car la chambre était réellement grosse. Zackeriel se perdit encore dans son regard … Il la voulait a lui seul. Il ne voulait plus la voir souffrir. Son visage s’approcha du sien…Doucement. Sa main lui caressait encore la joue…Il la colla quelque peut a lui…Il aimait tellement cette sensation. Rendu a quelque mètre, il lui dit :

- Je sais que je dois résister…Je sais qu’il faut attendre…Mais t’es lèvres…Elle semble si bonne…Elle semble si douce...Tout comme ta peau

Ses lèvres effleurèrent les siennes, mais il se recula avant. Il se remit droit, gêner de ce qu’il venait de faire. Il passa, nerveusement, sa main dans ses cheveux et lui dit :

- Vous devriez allez vous couchez…La journée a été dur…Non

Une fois de plus, il avait réussi à la faire réagir par de simples mots, mais qui avaient tant de signification. Elle avait légèrement replier les doigts et porter son petit poing à son visage pour en dissimuler encore la gêne, respira bien, puis rabaissa la main. C'était une pensée fort flatteuse et aussi hors du commun et impossible qu'elle semblait être, elle le croyait. Elle arrivait à lui faire confiance, sur ce point il lui avait bien plus que prouvé déjà. Ce n'était pas pour rien qu'elle se laisait faire avec lui. En fait il y avait plusieurs raisons. Étrangement, elle adorait la sensation que lui procurait sa présence si bien d'elle et chacun de ses gestes lui procurait un grand bonheur, étant emplit d'une douceur infinie. De plus, outre ce bien être, elle avait beaucoup d'estime pour lui certe, mais plus seulement que pour son titre, elle avait un étrange sentiment qu'elle ne pouvait expliquer encore, mais qui l'emplissait de bonheur et d'excitation.

Lors de son approche, elle avait retenu son souffle tant elle était émue, ne bougeant point, puis se relacha lorsqu'il s'écarta et ses quelques murmures la provoquèrent. Elle enlaça ses bras autout de son cou puis lui laissa un baisé sur la joue et ne se sentie pas indigne de ce geste. Elle le retint un moment, puis s'écarta et se dirigea vers son lit.

-Vous devriez en faire de même, sauf si les rauyotés n'ont pas le droit de se reposer.

Elle alla derrière le paravant, hésita un moment, puis s'y dévêtit, lui faisant confiance pour ne pas l'espionner et enfila une robe de nuit qui y était. Elle en ressortit, l'air sage, surveillant si son mornaque était toujours présent. Elle se glissa sous la couverture malgré sa présence, gardant une position assise pour pouvoir le regarder.

Zackeriel était rouge comme une tomate. Il avait faillit l’embrasser s’en même savoir si elle était en accord avec son geste. Malheureusement, ou bien heureusement, elle était des plus attirantes et Zackeriel ne savait pas comment résister. Il la voulait que pour lui. Il ne voulait pas la renvoyer dans se monde. Il voulait la garder et la chérir avec des cadeaux. Il voulait lui faire connaitre un autre monde. Un monde remplit de bonne chose et non de mauvaise. Il la regarda…Avec tendresse et se perdit dans son regard. Elle était tellement parfaite…tellement attirante…tellement belle. Son corps, ses courbes…Mais surtout sa personnalité l’attirait. Son être…Son âme vibrait au simple fait de la voir. Son cœur explosait à chaque fois qu’elle posait son regard sur elle et il était au ciel lorsqu’elle lui parlait avec sa voix d’ange. Tout d’elle l’attirait…Comme une fleur attire une abeille.

Lorsqu’elle lui donna un baisé sur la joue, il se senti tellement bien. Ses lèvres étaient si douces. Il se senti apaiser par le baisé…Par sa présence si envoutante. Lorsqu’elle se recula et parti vers le paravent, il ne fit rien et attendit. Son regard regardait le paravent…Attendant que sa beauté sorte…encore plus belle que jamais. Comme il l’avait prédit, elle sorti encore plus belle qu’avant. Il la regarda marcher jusqu’au lit et s’approcha. Il arrêta…il ne devait pas la brusquer. Il posa son regard dans le sien et regarda la porte. Il soupira, il ne voulait pas partir.

- Je vais vous laissez dormit en paix alors…A bientôt

Zackeriel se courba et sorti de la chambre, d’un pas lent…Et calme. Une fois la porte de Sitael fermé. Il s’accota contre le mur et ferma les yeux. Qu’elle idiot il était. Il ne vit même pas la servante s’approcher de lui. Celle-ci lui soufflait quelque mot :

- Vous ne devriez pas la laisser partir. Je sais que je ne dois rien dire…Mais je trouve qu’elle est mieux que toute ses bourgeoise…je…Pardonner moi mon seigneur.

Zackeriel voulu répliquer, mais elle parti. Ne jugeant pas la mettre dans l’embarra, il parti vers sa chambre…Mais s’arrêta dans le couloir…Se demandant quoi faire

Sitael avait regardé son doux prince s'éloigner. Évidament qu'il avait besoin de dormir lui aussi, elle ferait donc de même.

-Bonne nuit. souffla-t-elle.

Elle se calla dans son lit et mais ne se sentait pas ou du moins plus fatiguée. Une pensée vint la surprendre et l'empêcha réellement de se détendre pour dormir. Il était plus tard que l'heure à laquelle elle serait rentrée chez elle. Sa mère devait se ronger les sangs... surtout après l'événement de ce matin, le bruit s'était déjà répendu et elle avait disparue, tout pour épouvanter et éprouver sa famille. Elle avait les yeux grands ouverts et le frond en sueur. C'était décidé, elle devait les aviser.

Seule dans sa chambre, elle se leva d'un bon et renfila sa vieille robe si elle voulait partir sans être remarquer et que ses parents puissent la reconnaître. Elle ne les laisserait pas sans nouvelle. Elle s'approcha de la porte, l'entrouvrit discrètement et balaya le couloir du regard, mais ne vit personne de la fissure. Elle laissa donc la porte s'ouvrir et sortit de sa chambre sur la pointe des pieds. Cette situation la stressait si elle se fiait à la vitesse que battait son coeur, mais ne pouvait faire autrement que d'éprouver son courage. Un instant, son coeur oublia de battre.

Zackeriel repensa a elle…Repensa au discours de la servante…repensa a sa journée. La plus belle depuis dix-neuf ans…Le plus douce aussi. Dans la tête de Zackeriel c’était la journée unique, celle qu’on ne peut oublier tellement elle est belle…Non…Magnifique. Le prince revit la scène avec l’homme, dans le village. Une rage s’empara de lui tellement il le haïssait. Comment avait-il put penser lever une main sur elle…Elle était si belle…Si douce. Le prince s’accota contre le mur et ferma les yeux. Il s’amusa à refaire la scène de la dance. Son corps coller au sien…C’était tellement bon. Son souffle contre le sien…Sa main contre elle…Contre son dos, donnant une pression pour la garder contre lui. Le prince, a chaque souvenir, frissonnait de plaisir. Après quelques minutes, il se décida et reparti sur ses pas. Il devait aller la voir…Au moins lui dire qu’il tenait e elle…Plus qu’elle devait penser.

* Siatel…Je t’aime…non…trop simple. Sitael…tu es l’étoile de ma nuit…oui…Mais plus…Tu es l’étoile de ma nuit…La lumière dans l’obscurité de ma vie…Ma fleur dans mon jardins…Ma déesse…Non c’est trop. Sitael tu es l’étoile de ma vie…La lumière dans l’obscurité de ma vie…oui*

Ayant trouvé un texte ‘’potable’’. Il se dirigea, plus rapidement, car il avait ralenti en pensant, vers la chambre. Dans sa marche, toujours aussi silencieuse. Il entendit des pas, quelqu’un venait vers lui. Ne voulant pas se faire voir, il se colla contre le mur contraire. Maintenant caché, complètement, par le noir de la pièce, il regarda la personne passé. Lorsqu’elle passa devant une chambre, qui avait la porte ouverte, Zackeriel reconnu la silhouette de Sitael. Rapidement il sorti de son trou pour la rattrapera. Il la suivit, s’en faire de bruit…Au cas où se n’était pas elle. Rendu dans le grand hall, qui était complètement noir, Zackeriel se décida a réagir, maintenant sur que c’était elle.

Il la rattrapa, agrippa son bras, s’en lui faire mal, alla la plaquée, doucement, contre le mur le plus près et alla déposer ses lèvres contre les siennes. Il colla son corps contre le corps menu de Sitael…L’entourant de ses bras pour ne pas qu’elle est froid. Une main monta au niveau de la nuque, la serrant encore, s’en lui faire mal, le geste montrait plutôt une passion. La main relâcha son emprise, et alla glisser dans les cheveux de Siatel. L’autre main avait prit appuis sur le mur pour ne pas l’écraser. Sa bouche…Ses lèvres ne quittèrent pas celle de Sitael. Il l’embrassa avec passion, fougue, ardeur…Désir…Tendresse et bien plus. Il l’aimait et ca paraissait.

Lorsqu’il mit fin au baisé, il ne put se retenir et alla l’embrasser dans le cou, avec passion. Il prenait conscience qu’elle avait remit son autre robe…Signe qu’elle voulait parti. Zackeriel ferma les yeux et remonta ses baisées, mais ne baisa pas ses lèvres. Il la regarda, la caressant au niveau de la joue. Il lui sourit et lui dit, tout bas :

- Ne me laisse pas…Pas maintenant…Je ne veux pas perdre mon étoile…Ma fleur…Mon trésor…Ma vie…Je pars pas

Sitael fut surprise d'être ainsi bousculée et aurait bien relâcher un petit cri, si ce n'avait été du fait que des lèvres se plaquèrent contre les siennes, pure bouton de rose. Les yeux écarquillés, elle n'arrivait pas à le croire. Elle avait bien distingé de qui il s'agissait par son odeur, sa manière. Elle se laissa donc aller à cet élan, fermant doucement les yeux, cerclant ses bras autour de son cou l'attirant un peu plus contre elle. Il était si près qu'il aurait pu sentir chacun des bonds que faisait son coeur dans sa poitrine. Ces baisés dans le cou la firent frémir de la tête aux pieds. Elle lui aurait bien rendu la pareil, mais il la dominait complètement et elle adorait ça.

-Jamais je ne voudrais vous quitter, mais ma famille doit s'inquiéter de ne pas avoir de nouvelles...

Elle le regarda un moment puis un lueur passa dans ses yeux.

-Vous pouvez toujours venir avec sous couvertur si vous voulez.

Elle le prit par la main et le regarda fixement dans les yeux.

Zackeriel n’arrivait pas le croire. Il l’embrassait déjà avec passion et il savait répète d’attendre…De ne pas la presser, mais il n’avait pas pus s’empêcher. Il n’avait pas put résister…Il devait gouter a ses lèvres et c’est ce qui avait fait. Il avait gouté a ses lèvres s’en savoir si elle était en accord, mais heureusement elle répondit a son baisé, ce qui lui prouva qu’elle était en encore. Le futur roi fut des plus heureux lorsqu’elle lui rendit son baisé. Lorsqu’il avait mit fin au baisé, et dit sa phrase il crut qu’il avait été trop vite. Heureusement que non, car elle semblait heureuse de l’entendre. Il lui sourit et, âpres avoir entendu son premier monologue, puis son deuxième, pour finalement prendre sa main, lui donna un baisé la tête. Il la colla a lui et remarqua sa mince tenue.

- Mais tu va avoir froid belle ange

Avec galanterie. Il déposa sa cape sur ses épaules et lui mit le capuchon, ce qui lui donna un doux air…Un air mignon qui le fit craquer et aller chercher un second baisé. Il l’embrassa tendrement et se recula, l’emportant avec elle vers la porte. Ils devaient partirent, mais Zackeriel voulait la garder coller a lui le plus loin. Lorsqu’ils furent rendu a la porte, il mit fin au baisé, l’ouvra galantement et ils partirent, a pied, vers la maison.

Zacheriel et Sitael étaient revenus en catiminie main dans la main. Ce dernier toujours aussi gallant lui tenait la porte pour laisser entrer Sitael d'abord et vint l'y rejoindre et refermant la porte doucement derrière lui. Sitael retira la cape, la sentit pour s'imprégner de son odeur, plus celle de son propriétaire avant de la lui remettre. Elle époussetta sa vieille robe et releva la tête pour sourir à Zackeriel. Elle se dirigea vers le meuble ou se trouvait la brosse, passant près de lui, elle déposa un baisé sur sa joue et continua sa marche en lui laissant un regard langoureux par dessus son épaule. Elle s'assied devant le miroir, saisit la brosse et démêla sa chevelure. Étrangement, elle aimait bien ce geste répétitif, mais aussi la sensation. Ça lui rapellait les moments que sa mère lui jouait dans les cheveux. Elle regarda dans la glace et y sourit en voyant Zackeriel.

Elle se retourna sur son siège pour mieux le regarder, s'amusant à retracer les traits qu'il avait de son père, mais plusieurs restaient de source inconnue. Surement ceux de sa mère, pensa-t-elle. Elle n'avait jamais entendu parler d'une reine à Rubis, mais tout être humain avait un père et une mère, sauf lorsque l'un d'entre eux... oh... mais elle lui sourait tout de même.

-N'êtes-vous pas un être céleste?

Zackeriel avait eu un très bon voyage de retour. Il avait passé tout son temps à écouter Sitael parler et avait entamé quelque discussion avec elle. Discussion qui avait réellement aimé. Heureusement, personne ne les vient lors de leurs retours. Zackeriel suivit Sitael dans le royaume, celle-ci semblait savoir où elle allait. Le prince se laissa donc guidé et entra dans la chambre d’invité. Il referma la porte derrière lui et se promena, quelque peut, dans la pièce…Seulement pour passé le temps en entendant quel fait ses petites occupations. Zackeriel alla donc prendre place sur le lit et attendit. Il la regarda marcher de droite a gauche…trouvant cela plutôt amusant de la voir ainsi, il lui fit un clin d’œil. Avant de regarder a l’extérieur. Lorsqu’elle prit place, pour se coiffé, Zackeriel la regarda, s’en rien dire et se leva pour aller vers elle. Sa question le peina, mais elle ne savait pas.

- Non…Ma mère est seulement morte à l’âge de mes sept ans.

Le prince prit alors la brosse et força Sitael à se retourner. Doucement, il la pagina pour lui faire plaisir. Ses longs cheveux glissaient dans les mains de Zackeriel…Qui souriait. Apres un certain temps, il déposa la brosse et l’envoya se changer. Lorsqu’elle revint, en robe de nuit. Zackeriel sourit et alla la porter au lit, où il la coucha. Celui-ci s’assit, pour la voir et caressa sa chevelure.

- Tu es bien ?

Demanda-t-il de peur qu’elle manque de quelque chose.

- As-tu besoin d’autre chose ?

Rajouta-t-il…Près a faire tout ce qu’elle lui demandrais

Sa réponse l'avait quelque peu attristée, elle n'avait pas voulu qu'il le prenne dans ce sens. Enfin, elle éviterait d'en reparler. Elle se retourna docilement à son vouloir et aima bien ce court instant qu'il passa à lui brosser lui-même les cheveux. Elle se leva, passa se changer et se fit attraper en sortant de derrière le paravant. Soit elle était bien légère, soit elle découvrait une force à laquelle elle n'avait jamais songée. Elle se retrouva allongée dans son lit malgré elle et écouta les questions qu'il lui posa, s'enquiérant de son état. Elle s'était relevée sur un coude pour le regarder.

-Il n'y a qu'une chose que je désire.

Elle se pencha vers les yeux emplis de désir et lui ouvrit l'espace de ses bras, l'invitant à la prendre contre lui ou de venr la rejoindre, selon l'interprétation qu'on voulait en faire. Elle n,avait qu'un seul désire et ce fut de se retrouver tout près, non, contre lui, à échanger leur chaleur corporelle.

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Zackeriel, qui regardait Sitael, sourit en la regardant. Elle ne faisait rien…Disait rien, mais Zackeriel aimait bien se silence, qui l’avantageait. Il regarda sa chevelure…Si douce…Sa peau…Si douce…Son âme…Si douce. Chaque passerelle de peau était douce et Zackeriel en était fou. Lorsqu’elle leva sur les coudes avec sa demande, il sourit et la regarda tendre les bras vers lui. Le prince sourit et passa ses bras autour d’elle, comprenant son besoin de réconfort, et l’embrassa dans le cou avant de la recoucher et de la couvrir. Il se releva et alla près de la table de nuit, se défaire de son haut de tunique et son bas…Il ne garda qu’un pantalon légé. Le prince se faufila jusqu'à elle, après avoir soufflé la dernière chandelle. Il entra dans les couvertes de celle-ci et alla la chercher pour la coller a lui. Étant plus grand, elle put accoter sa tête sur son épaule, tandis que lui lui donnait quelque baisé sur la tête. En fait, elle alla se blottir contre lui dans le creux de son cou, cette partie qui sentait toujours le mieux chez tout être vivant. Les petits baisers la chatouillèrent un peu, elle frotta son visage contre lui puis se détendit peu à peu ou elle en frôlait presque le sommeil tant elle était bien contre cette masse chaude qui l'entourait de toute part. Elle poussa un petit soupir d'aise puis commença a tracer de petit cercle du bout de son index qui bougeait par petits spasmes. Zackeriel sourit et la serrant contre lui avec délicatesse. Contrairement a elle, le prince de Rubis s’endormit très vite…Réellement fatiguer et épuiser de sa journée

-A suivre-

Sa respiration se fit plus lente et plus profonde, le fil de la réalité lui glissant tranquilement des doigts pour la verser tranquilement vers le rêve. Mais à présent, pour Sitael, celui-ci n'avait plus son sens puisqu'elle avait connu bien aude-là de ce qu'il aurait pu lui présenter. Même les contes ne lui avait jamais semblés aussi féérique que la journée qu'elle avait vécue, ayant fait la rencontre exceptionnel de son prince, ou peut-être simplement d'un homme charmant et bienveillant. La pensée la frôla et elle plaqua sa main de tout son plat contre sa peau chaude, comme pour s'assurer de sa présence ou de sa réalité. Elle avait toujours peine à le croire. Elle inspira dans son cou, s'impreignant de son odeur si légère contrairement à celle que les hommes dégageaient dans le peuple. Lui il semblait tout frais, comme s'il avait dormi dans l'herbe la veille d'un printemps.

Elle fini par se laisser emporter, la fatigue l'ayant emportée sur Sitael. Tout son corps se détendit, se moulant au lit à celui contre le sien. Ses songes nocturnes furent grandement influencer par le parfum et la douceur de la peau de son voison et ce ne fut pas pour lui déplaire. Bien au contraire, un sourir se dessinait malgré elle, les yeux fermés, mais elle, emplie de bonheur doux et simple. Par contre, Sitael restait Sitael malgré les vêtements et les lieux.

Avant que le soleil ne se lève, elle se révaillait déjà, animée par l'odeur florale qui semble si proche. Le jardin? Non, l'odeur provenait de plus près. Elle ouvrit les yeux et se souvint ou elle se trouvait, mais ses yeux trouvèrent ce que son nez avait détecté avant. Là, sur le meuble, des fleurs qui semblaient fraîches. Elle regarda un instant le beau jeune homme qui dormait encore près d'elle, l'examina un instant, quoique longuement, puis se leva doucement, et quelques remords à se défaire de son étreinte, puis alla vers le fruit de son réveil. Elle saisit l'une des fleurs, la sentie et la garda contre elle. Une chaleur commencait à animer sa peau. Elle se retourna et vit le soleil poindre. Elle s'installa en bordure à la fenêtre et y admira le paysage avec ses multiples couleurs propres à ce moment de la journée.

Zackeriel, lorsqu'il c'était endormit, avait tout de suite commencer un rêve plutôt étrange. A vrai dire, il n'avait rien comprit de son rêve. Il c'était donc seulement contenté de faire son rêve s'en rien de plus. Il ne fit pas attention a ce qu'il voyait et passa s'en nuit en douceur et en trendresse. Lorsqu'il se réveilla, plusieurs heures plus tard, il n'ouvrit pas les yeux tout de suite. Le soleil lui aurait surement fait mal aux yeux. Il ne fit que se tourner, s'en bruit...Il fini par ouvrir les yeux en ne sentant plus la présence de sa douce près de lui. Comme il l'avait prévu, les lumières du soleil lui firent quelque peut mal...Mais c'était suportable. Il ne vit pas sa belle sur le coup...Il ne vit que les fleurs. Il sourit et se retourna, pour finalement la voir sur le rebord de la fenêtre. Zackeriel sourit et se leva lentement. Étant en patalon legé, il n'eu pas a prendre de temps pour se vétir. il s'approcha de sa belle et, rendu a destination, la prit dans ses bras...De dos, car elle était de dos a lui. Le prince alla déposer ses lèvres contre la peau tendre du cou de sa belle.

- Bonjour belle rose

Dit-il tout bas. La prince sourit et rajouta:

- As-tu bien dormit ? J'ai pas pris trop de place

Dit-il faussement avec un sourire aux lèvres

Sitael avait passé un bon moment dans sa contemplation du soleil levant avant que son prince ne se réveille et vint la rejoindre. Sa présence près d'elle la fit se retourner, ce qui lui évita de remarquer une tache sombre qui se déplaçait rapidement dans le ciel. Elle regarda Zack un instant et lui sourit, le visage doux. Le baisé dans le coup l'avait fait frémir de plaisir. Elle observa l'auteur de cet acte passionné et lui caressa la joue et lui répondit à voix basse.

-Oh oui, j'ai merveilleusement bien dormi.

Elle se rapprocha un peu de lui et lui fit une accolade comme si une nuit entière n'avait pas suffit. Réalisant la tenue de Zack, Sitael rougit un peu. Comment son père pourrait bien réagir à apprendre cette anecdote nocturne de son fils? Un peu confuse, elle plongea le nez et le regard dans la fleur qu'elle tenait depuis l'aube, en prit une bonne respiration et revint contre lui.

-J'imagine que vous vous éclipserai bientôt pour remplir vos fonctions et vos tâches.

essayant de se faire à cette idée, elle profitait du moment atant qu'elle le pouvait.

Kelevra sourit en sentant les mains de sa douce sur lui. Il la laissa faire avec plaisir et regarda sa beauté. Encore une fois, il sourit en la regardant. Il était incapable de ne pas sourire. Sa simple présence le rendait heureux. Lorsqu’elle se décolla, il perdit son sourire et son cœur se brisa a la parole de Sitael. Il avait complètement oublié son devoir. Il baisa la tête et demanda

- Vous souhaitez me voir quitté les lieux ?

Tout contre lui, le visage contre son torse elle murmura quelques paroles

- Oh, mais bien sur que non... seulement j'avais pensé que...

Qui était-elle pour lui dire ce qu'il devait faire? Non, c'était à elle de se taire et de le laisser jouir du plaisir qu'il désirait.

- Enfin, je ne devrais pas être une source de distraction qui pourrait vous nuire.

Dit-elle tout bas. Zackeriel lui sourit en l’entendant e la serra contre elle. Il lui caressa doucement le dos…Voulant pas qu’elle prend froid. Il fini par lui faire lever les yeux et alla baiser ses lèvres avec délicatesse.

- Tu ne va jamais me nuire belle ange…Ne pense pas a cela

Ces mots la réconfortèrent et déjà elle s'était abandonné au plaisir que lui laissait ce baisé. Elle ne put que soupirer d'aise. Comment aurait-elle pu connaître un homme pareil si... justement, pourquoi était-il descendu au village. Avec un peu d'innocence elle lui posa sa question.

-Dites-moi, qu'est-ce qui vous a amené à moi outre la divine providence? Je veux dire, pourquoi être venu au village?

-La vie au château n’est pas ce qui a de plus plaisant…Et si j’aurais sus que cela vous arriverais…Je serais venu plutôt vous sauvez.

Le prince hésita un instant et demanda :

-Vous a-t-il déjà touché ?...Quelqu’un vous a-t-il déjà touché s’en votre accord ?

Sitael s'immobilisa complètement un instant, réfléchisant.

-Hey bien, non. Parfois un peu brusquée, comme par cet homme, mais jamais on ne m'avait tenu pareil discours, peut-être parfois de salle illusions, mais rien de plus.

Elle hésita un moment.

-Pourquoi cette question?

Zackeriel ne dit rien et l’écouta parler. Il était complètement envouter par la douce et tendre voix de sa belle, qui semblait plus qu’angélique. Le cœur de prince sembla se serrer, il avait peur qu’elle est été violée…ou pire battu. Lorsqu’elle dit non, il fut grandement soulager. Doucement, il alla chercher les lèvres de cette belle ange et l’embrassa avec passion.

- Pour savoir…Si quelqu’un vous avez fait mal…

Dit-il entre quelque baisé. Elle se laissa faire, oubliant ce don elle venait de lui parler, car cette gestuelle n'avait rien pour lui déplaire. Ce bonheur lui donnait envie de chanter, mais elle se contenta de fredonner un petit air lorsqu'elle avait assez d’air ou une fois lovée contre son torse, il la dépassait bien d'une tête, au moins à ce qu'il lui semblait. Zackeriel arrêta de l’embrasser et lui dit :

- Chante si cela peut te faire plaisir mon cœur

Elle arrêta de fredonner, ses joues devinrent rose vif. Elle avala, prit une bonne inspiration, puis chanta le même tout bas montant tranquillement, au début hésitante, mais les notes s'affermissait, mais le rose ne la quittait pas et ses yeux étaient mi-clos. Zackeriel sourit en entendant une voix si douce. Il l’écouta chanter. Elle chantait tellement bien qu’il en ferma les yeux quelque minute. Doucement il alla en arrière d’elle et commença a l’embrasser dans le cou pour la détendre. Une main passa autour de sa taille et la colla conte lui.

- Continue

Murmura-t-il. Elle eu envie de rire un moment, ce qui la fit sourire et elle continua a chanter avec ce même sourire de plaisance, les traits détendu et la chanson beaucoup plus musicale, mais toujours aussi douce, bien que fluide. Elle ne s'empressa pas, mais lorsque les notes prirent fin, c'est simplement qu’elle ne connaissait plus d'autres paroles. Elle se retourna vers Zackeriel, l'air un peu gêné, mais toujours souriante, un peu fière d'elle pour une fois. Zackeriel lui caressa le visage du revers de la main et lui dit :

-Tu as une voix magnifique belle ange…

Il lui sourit et s’avança de nouveau pour l’embrasser

-Merci, je la dois surement à ma maman, elle aime tant la musique.

Elle lui vola un baiser puis lui posa une question

-Et vous, vous aimez la musique?

Une question purement innocente, mais il ne put y répondre immédiatement qu’elle lui volait un second baisé. Zackeriel s’apprêtait à répondre, mais celle-ci l’embrassa. Zackeriel ne se déroba pas et l’entoura dans ses bras, la serra et l’embrassa avec passion et amour. Il la fit reculer jusqu'à un mur et, maintenant celle-ci contre le mur, il pt passé ses bras autour de sa taille pour la coller totalement a lui. Elle se laissa faire, appréciant énormémant, puis recula sa tête d'un pouce tout au plus, le regardant, un petit souri aux lèvres.

-Alors cette réponse?

- Je t’aime, dit-il pour la première fois

Siteal perdit tout sourire taquin, elle sentit son cœur fondre, elle eu presque envi de pleurer tant ces mots semblaient beaux et tenta de lui répondre d'une voix émue.

-Oh... je vous... je t'aime aussi... murmura-t-elle.

Jamais elle n’aurait cru dire ces mots encore moins les entendre. Deux mots lui venaient : joie et allégresse.. Zackeriel sourit et la regarda tendrement. Il s’approcha d’elle et s’apprêta a gouter a ses lèvres quand la porte s’ouvrit. Zackeriel sursauta et se décolla quelque peut de Sitael pour voir une bourgeoise entré. Celle-ci regarda Sitael, le regard noir et regarda Zackeriel, qui n’était quand pantalon.

- Mais sa majesté ne devrais pas rester avec une va nue pied…De plus que se corps aussi laid…

En une nuit bien des choses avaient changée et Zackariel avait fait comprendre bien des choses à Sitael. Elle se détacha délicatement de l'étreinte de u prince et se dirigea à pas lents vers la bourgeoise, rien de malveillant chez elle, la regarda un moment et lui posa très humblement une question.

-Puis-je vous aider madame?

- Oui…Partez et laisser moi seul avec sa majesté

-Je ne crois pas que ma présence devrait vous gêner si vous devez vous entretenir avec lui, sauf si lui-même ne me le demande.

Elle ragarda Zackeriel, attendant une réponse quelconque. Zackeriel ne dit rien et regarda Zitael avancer vers elle. Durent un instant il pensa a une bagare…mais fut rassuré en voyant que Sitael ne faisait que parler. Il déclara finalement.

- Une personne devra effectivement partir

La bourgeoise sourit et giffla Sitael.

- Voila ta réponse!!

Sitael ne fit qu'encaisser le coup. Cette fois-ci aucune larme ne vint. Comme elle avait pitié de cette dame. Ce devait être la première chose qu'on lui refusait. Elle lui tourna le dos un moment, prit une fleur, sur le meuble. Elle la lui offrit et disant ces mots,

-Je crois que je vais vous laisser discuter avec notre prince, Je vous souhaite une agréable journée.

Elle franchit la porte et attendit non loin dans le couloir. Le prince ouvrit la bouche en voyant la femme gifler ainsi. Il s’approcha pour voir Sitael, mais elle avait déjà pris son élans pour quitté la pièce. Zackeriel regarda la femme et la fit reculer jusqu'à un mur. Il colla son corps au sien pour la faire envier et lui dit.

- Si vous osez toucher ainsi ma femme une seconde fois…La richesse que vous porter disparaitra…PARTEZ

Zackeriel recula et la bourgeoise parti. Le prince enfila un chandail et sorti de la pièce. Il vit Sitael mais ne s’approcha pas, car il ne savait pas quoi faire. Sitael vit le bourgeoise partir en larmes et en fut suprise. Elle n'eut pas cru qu'elle le prendrait ainsi. Mais qu'est-ce u'on avait bien pu lui dire. Elle aurait presque voulu la réconforter, mais elle était partie et elle ne voulait pas faire attendre le prince. Elle entra dans la chambre, s'approcha de lui, l'air inquiète.

-Est-ce que ca va?

Zackeriel fit oui de la tête et s’approcha d’elle. Il leva une main a la hauteur de son visage, la forçant a regarda sur le côté pour qu’il puisse voir sa joue, qui était joue.

- Mon dieu

-Allons, ce ne peut pas etre grand chose.

Dit-elle avec une gêne dans la voix. La marque devrait avoir disparue dans une heure tout au plus, ne t'en fais pas.Elle avait retourné la tête vers lui malgré tout, elle avait un regard apaisant et un sourrir rassurant.

-Je vais bien.

-Mais votre joue ?

-Ce n'est rien, murmura-t-elle. Auprès de toi je ne peux être qu'heureuse.

Elle alla se lover tout contre lui, remonta et lui laissa u baisé dans le coup et s'y accota.

-Mais qu'as-tu dis à cette dame pour qu'elle parte en larmes?

-Qu’elle perdrait tout si elle te touchait une nouvelle fois

Zackeriel se senti rougir. Il ferma les yeux en sentant les lèvres de celle-ci dans son cou…Il sourit et lui demanda.

-Veut tu te promener a cheval…avec moi ?

Sa proposition la surpris. Elle avait déjà vue de ces bêtes domestiques, mais combien impressionnante, mais n'en avait jamais approché. La curiosité était grande. Elle le regarda dans les yeux, le regard pétillant, les lèvres entrouvertes.

-Ca me ferait extrêmement plaisir.

Elle avait clairement entendu ce qu'il lui avait pour la dame, mais ne pouvais pas lui en vouloir d'être protecteur.