Au coin de la rue

Comme à tous les matins, la jeune fille vint s'installer, son panier à la main remplit de fleur fraîchement cueuillies. Il y en avai de toutes les couleurs, de tous les goûts. Elle se posta et commença à les compter, estimant combien elle pourrait en vendre et en tirer.

La pauvre n'était revêtueque d'un haillon, une robe trop usée, mais semblais garder le sourir et voir cette journée comme une bonne chose à venir. Elle coiffa ses cheveux comme elle le pu, replaça un plie, tant de précautions qui ne servaient à rien, puis elle attendit le lever du soleil, elle attendit la venue du premier passant.

Les premiers rayons vinrent effleurer sa peau et la réchauffer. Elle ferma les yeux pour en savourer ce doux moment de sa journée avant que le jour ne soit trop chaud ou que la nuit froide vienne voler sa place.

Elle fut tirer de sa rêverie par la circulation qui commençait à se réveiller et se mettre en branle.

Zackeriel avait quitté le château depuis se matin, il était escorter, comme toujours, mais au moins l’escorte n’était pas des plus grandes. Armée d’une lance et d’un arc, ils partirent à la chasse avec un membre de la famille royal. Cela ne prit que quelque minute, voir une vingtaine, avant que le groupe ente dans la forêt et que Zackeriel s’enfuit de nouveau. Le futur monarque aimait être seul hors du château et sa ruse avait bien marché aujourd’hui. Son père voulait le voir chasser et Zackeriel lui avait dit qu’il voulait essayer aujourd’hui et comme toujours, pour la chasse une escorte n’était pas grosse pour ne pas faire fuir les animaux. C’est dans un tournent que Zackeriel avait parti au galop. Sa monture, qui était un jeune étalon noir, parti en flèche, avec le futur monarque a son bord. Lorsque les soldats prirent conscience de son départ, il était trop tard. Zackeriel avait déjà échangé ses vêtements avec ceux d’un voyageur. Déguiser, il se rendit dans le villade de Rubis.
Heureux que personne ne le reconnaisse sous sa cape, il se promena dans le village et acheta quelque chose en manger. Il se contenta finalement d’une bonne pomme rouge et d’une banane, qu’il sera pour plus tard, car sa main était déjà occupé a tenir la pomme, une banane dans l’autre main serait mal vu. On l’aurait surement prit pour un glouton et Zackeriel n’était aucunement ainsi.

- Vous payez si vous voulez une fleur

Fit une douce voix qui fit retourner le jeune monarque. Zackeriel porta son regard autour de lui, mais prit un certain temps avant de voir où la scène se déroulait. Un cercle c’était même former autour des deux interlocuteurs, qui semblait pas heureux

Au delà de la foule se trouvait Sitael.

Une personne s'était arrêtée devant elle, prétedant vouloir une fleur, mais avait refusé de payer rose, margerite paquerette. La jeune innocente ne semblait pas comprendre de la fleur dont il semblait parler et convoiter. Il y avait un moment qu'il la quémanait, ec qui avait attiré quelque personne curieuse, puis s'étaient amplifié et fermer un cercle, fermant tout échapatoire pour Sitael, la foule étant trop bête, attendait ce qui s'ensuivrait. Qui se souciait vraiment du sort d'une vanue pied.

L'homme saisit la fille par le bras.

-Je suis prêt à te faire un prix tu sais... très bien même, tu pourrais changer ces torchons et manger à ta faim. Hahaha.

-Mais lâchez-moi, vous me faites mal.

La petite se tortillait. Quelle douleur cette grosse main lui faisait subir, et surout quelle humiliation. La dernière chose qui lui restait était de l'honneur et elle aimerait bien la garder d'ailleur. Elle lui tappait sur le bras, ce qui ne fit que plus rire l'homme.

-Je les aime bien farouche.

Elle le mordit. Il devnt furieux et renferma sa prise ce qui arracha un cri de douleur à la fille.

Zackeriel tentait, tant bien que de mal, de se faire un chemin vers le milieu de ‘’l’attraction’’. Il ne comprenait pas pourquoi tant de monde se rassemblait ici et pour qu’elle raison. Le futur monarque prit quelque minutes a passé entre les membres qui étaient déjà sur place. Les paroles, qui était au début flou, devinrent vite compréhensible, et Zackeriel en comprenait le contenue. Il fini par bousculer le monde avec rage. Il détestait se faire marcher sur les pieds. Avec détermination, il arriva enfin dans les premières lignes et put voir quelque peut. Tout ce qui voyait était un homme, qui riait en disant des paroles incompréhensible. Lorsque Zackeriel eu une vue sur l’ensemble, il ne put s’empêcher de regarder la femme, qui était peut habiller du a son titre. Il voulu s’approcher, mais le monde se regroupèrent encore pour voir la suite et Zackeriel fut projeté vers l’arrière. Se retrouvant maintenant dans la troisième ligne, il eu de la difficulté a revenir a sa place. Heureusement il put faire mieux. Il réussit a se rendre au premier rang, dans la première lignes, mais il ne restait pas là. Il sorti des rangs et se dirigea vers l’homme, qui serrait la femme trop fort, selon l’intensité de ses cris de douleur. Zackeriel serra son point et ne se retenu même pas. Il envoya son point dans le visage de l’homme, qui tomba au sol, emportant la femme avec lui. Heureusement il la lâcha, pour porter les mains a son nez. Zackeriel le regard d’un regard rempli de noirceur et lui dit :

- Et moi j’aime bien lorsqu’on les laisse tranquilles

Zackeriel regard l’homme revenir a la charge et il sourit. Il leva son capuchon, mais pas trop, seulement pour que l’homme le voit. Lorsqu’il reconnut sa majesté, il se recula et parti en courant. Zackeriel replaça son capuchon, redevenant inconnu aux yeux de tous. Il tourna son regard sur la jeune femme et s’avança vers elle. Doucement, il se pencha à sa hauteur et ramassa ses fleurs qui avaient tombé, tandis que le monde se dispersait. Zackeriel, qui venait de ramasser les fleurs, glissasept pièces d’or dans le sac, qui se trouvait dans le panier, prit une rose et l’offrit a la jeune femme en disant :

- Toute femme mérite une rose...Peut importe le prix

Sitael n'aurait jamais espéré un secours quelconque, c'était oublié depuis longtemps. Elle n'avait même pas remarqué que quelqu'un avait traversé la foule. Tout ce don elle se rendit compte, fut qu'elle se retrouva au sol, le bras libre. Elle sauta sur l'occasion et se releva pour s'éloigner de ce grotesque personnage le plus loin possible. Il ne remit pas long lui non plus et ce n'est que lorsqu'il chargea qu'elle vit un autre homme.

Elle étouffa un petit cri de peur. Un autre allait être blessé. Il ne fallait surtout pas. Elle fut très surprise de voir le bonhomme rebrousser chemin en courant et ne se questionna pas plus.

Voyant que la scène était terminée, la foule se dispersa, Sitael se mise à ramasser les fleurs qui étaient tomebrs du panier. Une fois de plus cet homme vint la surprendre à l'aider et finalisa avec le coup de grâce en luilaissant ce compliment. Elle en avait les joues en feu, elle, pauvre fille délaissée du peuple. Elle prit un temps et bredouilla.

-Mmm er...ci.

Elle serra la fleur contre son coeur.

-J'ignore qui vous êtes, mais vous avez prit un risque bien grand, vous n'auriez pas du vous savez...

Depuis quand pouvait-on seulement penser à la défendre? Elle lui sourit tout de même timidement, elle était toujours sous le choc et alla se laisser choir contre un mur pour la retenir, tentant de se remettre de sa peur.

Zackeriel fut surprit de voir la jeune femme prendre la fleur et la tenir contre son cœur. Il comprit alors qu’elle ne devait pas en avoir souvent, car les roses étaient réellement chèrent dans cette partie du royaume. Il la regarda longuement et ne fit rien de plus. Son regard resta dans les yeux de la femme, même si elle ne le voyait point. Zackeriel se releva et proposa sa main a la femme, qui accepta avec timidité. Le monarque, enfin futur monarque, la remit donc sur pied et ramassa les dernières fleurs qui étaient encore tombé. Avec douceur, il remit les fleurs a leur place et se recula d’un pas, signe de politesse. Un homme, courtois, devait se tenir a un pas d’une dame si elle était sienne et trois pas si elle ne l’était pas. Un bruit de sabot se fit entendre et les soldats arrivèrent autour de lui avec rapidité. Heureusement ils restèrent sur leurs cheveux, mais Sitael s’évanouit tout de même. Étant de dos, Zackeriel ne la vit pas. C’est lorsqu’il se retourna pour lui dire au revoir, qu’il la vit au sol. S’en hésitation, il se dirigea vers elle et la prit dans ses bras. Son capuchon tomba et tout les membres autour, de la fonction paysan(ne), retenues leur souffle et se courbèrent. Zackeriel ne vit rien…Rien sauf elle. Il fit signe a un soldat de venir :

- Ramasse ces fleurs et va m’en chercher des nouvelles. J’en veux des nouvelles…Fraiches…

Le soldat s’inclina et parti, a la course, faire la course que son monarque lui avait demandé. Zackeriel ne regarda personne d’autre et monta sur son cheval, s’en délaisser Sitael. En la sentait si menue, il comprit qu’elle n’avait certainement pas du manger.

- Allez me chercher de la nourriture

Zackeriel fit tourner son cheval et parti en direction du château où il arriva en temps record.