une aide royal...

Tous les voisins, et voisines du fermier Drialth, s'etait rassemble pour lui donner un coup de main. Dans la veil, sa ferme qui etait aussi sa demeure, avait prit feu et il avait perdu beaucoup dans cet incendi. Le roi, ayant ouie dire de cela, et conaissant se fermier pour travailer d'arrache pied, s'etait empressé de les rejoindres pour leur donner un coup de main, la cour attendrait....

Des ouvriers aux villageois, travaillaient en cet instant, soit a la constructiond 'une nouvele demeure, ou encore a récupéré des biens epargner par l'incendie. La journé etait magnifique, le soleil brillait haut et fort, cela permit a Demian de travailler avec eux une bone parti de la journé, tou en samusant.

Demian, travailait en cet instant avec quelques ouvrirer dans la terre, essayant de batir un nouveau puits a son ami le fermier. Le roi avait salit se ses vetemtns blancs qui etait maintenant recouvert de terre et de boue. Ses cheveux blancs, etait attacher sur sa nuquye, chose quil ne faisait habituellement jamais. il travailla durant quelques heures, puis prit une pose avec les ouvriers. Tous se feliciterent, et cetains meme firent des plaisanterie avec leur jeunes souverains. Les soldats de Demian donnaient eux aussi un coup de main, ils fabriquaits de spoutres pour la nouvelle demeure du fermier.

Puis un apporta uen chope de bierre a Demian qu'il refusa, il ne buvait que de l'alchool quant il en avait envi pas quant on le lui forcait. il prit a la place del'eau, et s'en versa dna sles cheveux, la chaleur etait etouffante, mais il preferait suer au travail que de rester sur son trone a ecouter des gerimiades.

Tempera avait fuit Argent à toutes jambes. Pendant toute la nuit, elle n'avait pas cessé de courir au cas où quelqu'un s'apercevrait de sa fuite et enverrait des gardes à ses trousses. Au petit matin, elle avait rencontré une troupe de saltimbanques qui l'accueillirent chaleureusement. Ils lui donnèrent un repas chaud et proposèrent de la déposer à Opale, leur destination finale. La princesse réfléchit un long moment. Opale était au nord, suffisamment loin de son royaume. Cela ferait l'affaire. Elle aurait tout le loisir de fuir ailleurs par la suite si on la reconnaissait. Et le temps que le roi fasse parvenir une missive au roi, elle aurait le temps d'élaborer un plan de fugue. Et puis, partir en caravane irait plus vite qu'à pied. Dès que le soleil fut totalement levé, ils levèrent le camp et partirent à grande vitesse vers le beau royaume d'Opale. Ils voyagèrent toute la journée. Au soir, ils se racontèrent des histoire, ignorant toujours les origines nobles de la princesse d'Argent. Les bohémiens lui offrirent un autre repas puis s'enroulèrent dans leur couverture. Tempera, elle, ne trouva pas le sommeil cette nuit-là. Elle était trop nerveuse pour cela. Au petit matin, ils partirent de nouveau. Au milieu de l'après-midi, ils arrivèrent à destination. Les gitans lui donnèrent un tout dernier repas puis la laissèrent partir en lui souhaitant bonne chance même s'ils n'avaient pas une fichtre idée de qui elle était réellement.

Tempera se félicita d'avoir pu arriver dans un tel endroit aussi rapidement. Le village bourdonnait d'activité. C'était idéal pour se fondre à la masse. Elle serait plus ou moins difficile à trouver. Elle avait prit des vêtements de servantes qui lui allait comme un gant. Ce n'était pas les riches tissus auquels elle était accoutumée, mais elle s'y ferait sans doute. Le tissus réussissait à épouser ses courbes délicates tout de même. Une question flottait cependant dans son esprit : Quelle serait sa punition quand son père la retrouverait? Parce qu'il la retrouverait, c'était assuré. Une dauphine, seule héritière du trône, ne pouvait pas être ainsi abandonnée. Si elle n'avait pas été enfant unique, sans doute aurait-il renier son existence, mais il ne pouvait pas ce le permettre... malheureusement pour tous les deux. La jeune fille se dirigea vers la place publique et tenta de se mêler à la masse. Peut-être trouverait-elle quelqu'un pour l'accompagner jusqu'au château? Elle s'approcha d'un groupe de paysans qui semblaient avoir terminé un travail ardu. Tempera fut quelque peu bousculer. Elle se retrouva par hasard à quelques mètres du roi sans même savoir qui il était. Son allure perdu attira l'attention d'une femme.

- T'es perdue la p'tite?

Tempera fut surprise, peu habituée que l'on s'adresse à elle de cette manière. Elle reprit sur elle, son regard bleu-vert mélancolique plongeant dans celui de la paysanne d'une trentaine d'années.

- Euh... Je viens tout juste d'arriver ici et à vrai dire je n'y connais personne ni rien.
- M'une étrangère, hum? T'as pas l'air d'une paysanne, pas plus qu'une fille de rue, tu fais quoi comme travail?
- Euhm... je...

Cet interrogatoire ne lui plaisait pas du tout. Surtout que sa position était délicate. Comment avait-elle pu oublié de s'inventer une histoire, quelque chose?!

- Cela ne vous regarde pas.
- Une sorcière?
- Non! Mais arrêtez à la fin...

Tempera, bouleversée, s'éloigna rapidement du groupe. Elle alla s'adosser au mur d'une échoppel. Le vent souffla dans ses cheveux. Elle les repoussa doucement. Sa gorge se serra. Elle se sentait isolée en ce lieu où tous semblait partager leur avoir. Elle était si loin de chez elle.

Le roi ecouta attentivement ses concitoyens parlé, puis remarqua la discution entre une etrangere et un autre villageois. il tandis l'oreile, puis la vit seloigner. le roi avait une mine perplexe. il jeta un regard constioneur au villageois Manrdir, celui ci hausa les epaules. Nathaniel (je dos canger le prenom alors...) Ce leva alors, la pause se terminerauit biento, de toute facon il pouvait prendre un peu de temps non? Le souverain s'eloigna et la suivit discretement, il ne desirait pas non plus avouer qui il etait, dire qu'il etait roi de ce royaume.

- Bonjour milady, belle journée non?! au faites, esse que Manrdir vous aurais blesser par ses paroels? pardonner si j'ecoute au porte mais j'aime savoir ce qui ce trame autour de moi...et si je me souvien bien, vous etes tomber, vous etes vous fait mal?

Il lui offrait un sourire chaleureux, un sourire quil offrait a tous les gens qu'il rencontrait. il tandis une amin a la femme.

- vener je ne vous mangerais pas^^

Tempera eût un léger soubresaut quand il s'approcha. Elle tourna son doux visage pâle vers lui, ses yeux mélancoliques, presque éteints le scrutèrent minutieusement. Elle ne répondit pas à ses premières questions. Sa bonne humeur avait quelque chose d'irritant pour elle à ce moment-là. Pourtant, au fond d'elle-même, elle savait qu'il était un homme bon et juste. Elle détourna son regard quand il sourit, n'ayant aucune envie de lui répondre. La princesse ferma les yeux en voyant sa main se tendre pour lui proposer de le suivre.

- Vous êtes le roi Nathaniel, déclara-t-elle d'une voix douce et enchanteresse.

Elle tourna son visage vers lui.

- Pas la peine de me mentir, je le sais. J'ai vu une peinture de vous dans le château où je travaillais avant. Très loin d'ici, bien heureusement. À Argent...

Tempera soupira et porta son regard triste au loin. Ses doigts effleurèrent son pendantif qu'elle portait au cou, seul souvenir de celui qu'elle avait aimé de toute son âme deux ans auparavent.

- Vous n'avez aucun temps à perdre avec moi. Je me cherche du travail, et comme je l'ai toujours fait, j'y arriverai toute seule. Pardonnez-moi si je vous paraîs froide, mais... j'ai appris à ne plus m'attacher au gens. Et je sais qu'il serait facile pour moi de m'attacher à vous. Ce serait une bien vilaine chose.

Tempera esquissa un geste pour partir en l'évitant.

Nathaniel, le jeuen roi la regarda voulant partir, mais la retien delicatement par les poignets. Le roi l'Approcha, il n'aimait pa sles gens end eroute, quant ils l'etaient et qu'ils resistaient a en parlé. Le jeuen souverain, fit attention que personne ne soir trop pres d'eux, puis il dit.

- Princesse Tempera d'argent, desoler de mes paroles directe, votre portrait est aussi dans les grandes salles de mon palais.^^ Je n'aime pas voir les gens dans l'éta vous êtes, je préfere de loin voire les gens sourires et s'amuser.

Il sourit, ses traits fin rappelait vivement les traits elfiques dont il avait heriter de sa mere. Le jeune souverain sourit encore un peu, mais pas agacant.

- Venez au chateau, je vous ferait pasé pour une amie de la famille, j'enleverait votre portrait si cela vous chantes, vous serez loger dans l'ailes des invité, aussi si vous êtes leve tard, vous serez surment deranger par les orphelins que j'heberge dans une aile adjacente a la votre. J'espere que cela ne vous derange pas? De plus, je serait capable de vous trouvez un travail convenable si cest ce que vous desirez, vous n'avez qu'a mne dire dans quel domaine vous desirez allé.^^

Nathaniel sourieit toujour smais son regard etait quleque peu fixe. Ses cheveux blancs encadrait magnifiquement son visage pale. Ses yeux miroitant ne cessait pas de la fixer sans ciller, mais aucune mechanceté se degageait de lui, il etait plutot chaleureux.

Tempera fut surprise qu'il la reconnaisse également puis fit une moue. Elle aurait dû y penser que son portrait se trouvait également dans le palais du roi d'Opale. Elle soupira doucement, n'osant même pas affronter son regard. Ses mains sur ses poignets lui faisaient l'effet d'une brûlure, mais elle n'osait pas les retirer. Elle regardait fixement ses pieds, ne désirant pas risquer de croiser son regard. Son invitation dans son château la toucha profondément. Elle esquissa un doux sourire, hésitant soudainement à lever les yeux. Puis il parla d'orphelins. Son coeur se compressa dans sa poitrine, touché par la sensibilité du roi, mais également peinée de n'avoir jamais connu sa mère. La jeune princesse leva doucement son beau visage. Ses yeux clairs et doux dans leur mélancolie plongèrent dans ceux, exaltants, du roi. La dauphine frissona. Ses yeux, ses mains... la proximité.

*Si près* songea-t-elle en soupirant intérieurement.

Tempera ne lui fit pas de sourire, le fixant tout comme il la fixait. Un silence se prolongeait entre eux et elle n'osait le briser, comme si elle craignait qu'autre chose éclate en même temps. Ce sentiment de bien-être?

- Je... , commença-t-elle.

Le mot avait glissé de ses lèvres. Elle se tut puis réalisa que parler ne brisait pas son bien-être. La princesse Tempera rougit et détourna ses yeux qui se remplissaient de larmes. Elle défit ses poignets doucement.

- Non. Je ne pourrais pas...

Tempera se mordit la lèvre inférieur. En réalité, elle craignait de vivre dans l'indifférence de ce roi, sans trop savoir pourquoi. La princesse eût un tréssautement, un sanglot silencieux.

- Je ne pourrais pas vivre avec vous, murmura-t-elle sans vouloir admettre qu'il la troublait.

Nathaniel ne retient pas son sourire decu. Et lui jetta un regard quelques peu, triste, ou etaisse de la melancolie? il avait recu il n'y avait pas longtemps, uen messive lui disant quil alait se marié avec une femme, du nom de Alasiana(jpense..) Cela lavait vexer, il aurait aimer quelqun, par amour et non par choix diplomathique. Le jeuen roi regardait cete femme et cela lui rappelait le choix des royaumes voisins. Il soupirs.

- venez au moins prendre le thé...je vous presenterais même Mylhia...


il parlait de la petite orpheline dont il s'occupait principalement, il ne devait pas faire de favoritisme, mais il avait été acroché par le carctere timide, et triste de cet enfant, alor sil en avait fait en quelques sortes sa petite soeur.

- je suis sur quelle aimerait rencontré une dame tel que vous..
il lui fit le baise main, signe de politesse.

Tempera sentie ses lèvres sur sa main. Elle se crispa soudainement. Pourquoi faillait-il qu'il fasse exactement tout pour que son trouble s'intensifie. Le savait-il seulement? La princesse plongea son regard dans le sien. Elle acquiesça doucement et força un sourire qui demeura voilé de mélancolie. Elle trouva surprenant qu'il semble déçu qu'elle ne puisse se permettre de rester plus longtemps.

- D'accord. Mais je crains que rester plus longtemps ne soit pas une très bonne idée...

Sa voix tremblait légèrement, et cela l'agaçait. Elle ne voulait pas qu'il sache. Ce serait trop dur pour son coeur qui avait déjà perdu l'amour. Ses doigts pâles et fins allèrent effleurer le collier qu'elle portait à son cou alors qu'elle se remémorait l'image du corps sans vie de celui qu'elle avait tant aimé... puis tant pleuré. Tempera soupira pour chasser son chagrin qui lui crevait le coeur de nouveau. Elle scruta les alentours rapidement.

- Allons-y maintenant. J'ai beaucoup de route à faire encore.

*Dire que je ne connais même pas ma destination.*

- Au fait, qui est Mylhia?

Tempera tourna son regard qui luisait d'une lumière qui se contredisait avec la mélancolie de son attitude.

le jeuen roi l'amena de bon pas vers son royaume. En chemin, ele avait demander qui etait mylhia. nathaniel avait sourrit gentiment.

- ma soeur, dans un sens, elle est une orpheline n'ayan tpas eu de chance, je em suis reconnu en elle alors j'ne ets fait en quelque soirte ma petite soeur...

Nathanile continuait de marché aux coters de tempera. Il savait que son mariage serait imminant, cela lÉ'agacait, mais il devait respecter les choix de la cour. Il avait cesser de fixer tempera, et fixait mainteant avidement le sol. Il se disait trop souvent que l'ont jugeait la valeur de sgens par leur sang bleu, si il aurait été né paysans aurait-il été moins aimer? aurait-il eu plus de bonheure avec ses propres choix et non ceux de la cour?

Ils emprunterent un chemin peu frequenter, mais que nathaniel avait lhabitude de prendre. Le roi restait silencieux puis il desira se changer les idées.

- Saviez vous que l'ordre des chevaliers d'Emeraude est revenu en vie? je comptait aller voir els souverains d'emeraude biento et voir ses merveilleux defenseurs, vous n'auriez qu'a my accompagner si cela vous chante biensur.?

Tempera hocha doucement la tête à l'explication qu'il avait donné. Elle devinait en lui une grande bonté. C'était quelqu'un de visiblement généreux, mais quelque chose dans ses yeux la tracassait. Elle n'en souffla pas mot et tourna son regard vers le paysage qu'elle admirait. Un silence troublé par le chant mélodieux des oiseaux et la mélodie du vent s'installa. Pour la jeune dauphine cela n'avait rien d'un lourd silence. C'était même revigorant. Quand il reprit la conversation, elle tourna doucement la tête vers lui. Il ne la regardait pas. Tempera écouta ce qu'il avait à dire et esquissa même un sourire à sa proposition de l'accompagner : cela lui ferait grandement plaisir. La jeune héritière s'arrêta soudainement. Sa main douce prit la sienne pour le retenir. Ses yeux plongèrent dans les siens.

- Vous voulez, par ce voyage, quittez votre royaume. Hors vous n'avez apparamment aucune raison de le faire...

Tempera sourit doucement, l'un de ses sourires léger et caressant comme une brise de printemps. Ses doigts se serrèrent légèrement autour de sa main.

- Je fuyais mon père... Mais vous, que fuyez-vous?

Elle fouillait ses prunelles jusqu'à leur coeur, comme s'ils cherchaient à saisir ce qui se tramait dans son esprit. Tempera s'approcha légèrement d'un demi pas.

- ce que je fuis..je crois que ej fuis mon destin...je n'aime pas que les autres choisissenbt d'avance ce que je devrais faire ou suis-je. Je n'apreci guere leur facon d'agir a mon egard, et fuire quelques jours les problemes diplomathique du royaume me ferait des plus grands bien je crois.

Le roi et la dauphine d'argent debauchere finalement devant les douves du palais. La le pont baissé, ils entrerent tous deux. Nathaniel ne disait plus rien pour un moment. Il ce contentait d egarder le silence. Le contact de la main de Tempera dans la sienen l'avait electriser, c'est ce qui était le plus etrange...lui qui allait ce marié...

Nathaniel n'eut pas fait 3 pas dans la salle de reunion(conseiller) etc..
qu'une petite fille pas tres agé courrut et lui sauta dessu. Elle le tenait par le sjambes et souriait a bel dent. Le roi lacha a regret la main de la femme et prit la gamine.

- Bonjour mon ange. Belle journé? Je voudrais te présenter Tempera, Tempera je vous presente Mylhia.

- Bonjour..
dit la petite orpheline quelque peu timide.

Tempera n'avait plus voulu que sa main quitte celle du roi qui ne sembla pas lui en vouloir. La jeune fille sourit tristement en l'écoutant. Elle aurait voulu l'étreindre pour le réconforter, mais se retint, fort heureusement. La princesse d'Argent respecta le silence qu'il instaura entre elle et lui. C'était sans doute mieux. Mais cette fois-ci, elle le trouva lourd et plein d'électricité. Leurs mains ne se quittèrent pas, ce qui fit frémir Tempera qui n'avait pas voulu lui paraître familière à ce point. Pourtant, elle ne pouvait pas totalement s'en vouloir. Au plus profond de son coeur, quelque chose renaquit des cendres. Ils passèrent le pont-levis et entrèrent dans le château. Nathaniel la guida vers une salle de réunion où une petite fille vint se prendre dans ses jambes pour le serrer. Tempera sut immédiatement que c'était la petite Mylhia. Le roi relâcha sa main et prit l'orpheline dans ses bras. La jeune dauphine s'approcha lentement de la petite fille et lui fit une révérence avec un sourire malicieux.

- Bonjour, petite princesse d'Opale.

Tempera sourit tendrement à la petite fille et replaça délicatement une mèche qui tombait devant les yeux de l'enfant. L'Argentienne glissa un regard vers le roi. Ses yeux étaient doux et tendres sans pour autant que le sentiment qui y flottait soit saisissable. La princesse sourit mystérieusement au souverain avant de tourner de nouveau les yeux vers Mylhia.

- On m'a beaucoup parlé de vous, votre Majesté.

Tempera adorait déjà la petite et s'amusait à flatter son égo enfantin pour lui faire plaisir.